SOS FAMILLE BARRAND
 

UNE FAMILLE AU BORD DE L'EXPULSION POUR UN PARKING MUNICIPAL !

 

En 2010, en France, la censure sévit encore !

Le 03 Novembre 2010,dans l'Est Républicain de Pontarlier, parait un article écrit par Pierre Dornier sur Jean Marie Barrand et sa famille.
Cette article, loin d'être neutre et absent de préjugés, a contraint Jean-Marie Barrand à demander un droit de réponse.
Il a donc rencontré Pierre Dornier et celui-ci a accepté de publier son droit de réponse.

Le 27 Novembre 2010, un nouvel article parait sous le titre "Affaire Barrand : déision et précisions"
Cet article ne fait que citer en partie le droit de réponse, qui plus est avec des commentaires : le droit de réponse est donc censuré !

Il est pourtant clair, et la loi l'indique bien, que le droit de réponse doit être reproduit à l'identique à condition de ne pas dépasser 200 lignes.

Extrait de l'article 13 de la Loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse, traitant du droit de réponse

"Le directeur de la publication sera tenu d'insérer dans les trois jours de leur réception, les réponses de toute personne nommée ou désignée dans le journal ou écrit périodique quotidien..."
"Cette insertion devra être faite à la même place et en mêmes caractères que l'article qui l'aura provoquée, et sans aucune intercalation."
" Non compris l'adresse, les salutations, les réquisitions d'usage et la signature qui ne seront jamais comptées dans la réponse,celle-ci sera limitée à la longueur de l'article qui l'aura provoquée. Toutefois, elle pourra atteindre cinquante lignes, alors même que cet article serait d'une longueur moindre, et elle ne pourra dépasser deux cents lignes, alors même que cet article serait d'une longueur supérieure. Les dispositions ci-dessus s'appliquent aux répliques, lorsque le journaliste aura accompagné la réponse de nouveaux commentaires."

Pourquoi cette censure ? peut-être car le journaliste est un ami du maire de Montbenoit ?

Article du 03 novembre 2010

Le droit de réponse original fourni par Jean-Marie au journaliste

27 novembre 2010Le "droit de réponse" publié par le journaliste